Israël et la fluoration des eaux

Publié le par safiya

 

“Israël est à la pointe des technologies d’épuration des eaux” (et de sa fluoration)



(Source : IsraelValley)

 

 

 

 

A l’occasion de la Journée mondiale de l’Eau, le ministre des Infrastructures nationales a évoqué ce dimanche le nouveau rapport de l’Onu plébiscitant les capacités d’Israël dans le domaine de récupération des eaux usées. “Ce rapport confirme ce que nous savions depuis longtemps : Israël est le leader mondial dans le domaine des technologies d’épuration et de récupération des eaux usées ”, s’est félicité Binyamin Ben Eliézer. “Nous recyclons aujourd’hui la grande majorité des eaux usées en Israël et 70 % de ces eaux épurées sont utilisées dans l’agriculture”, a précisé le ministre.

Binyamin Ben Eliezer a également annoncé que le ministère des Infrastructures nationales a pour nouvel objectif de parvenir à recycler 90 % des eaux usées “voire même plus d’ici l’année 2013″. Le ministre a poursuivi en déclarant que “l’Etat d’Israël continuera à représenter un modèle pour le monde entier dans ce domaine, parallèlement aux efforts pour réduire l’utilisation et le gaspillage des eaux”.

Cinq nouvelles usines de traitement des eaux usées ont été inaugurées dernièrement à Dimona, Yeroham, Kfar Hitim, Dvir et Bet Arié. Le coût de ces nouvelles infrastructures est évalué à 87 millions de shekels. Près de vingt autres usines similaires sont en court d’édification, notamment à Netivot, Ein Tsourim, Gadot et Ayelet Hashachar. En outre, des dizaines d’autres systèmes de récupération des eaux usées sont en cours de planification pour un investissement évalué à 1.01 milliards de shekels.

Les membres du lobby parlementaire pour l’environnement ont également tenu à marquer ce dimanche la Journée mondiale de l’Eau. Les députés, dont Ofir Pinès (travailliste) et Dov Hanin (Hadash), ont dressé un bilan moins rose que celui présenté par le ministre Ben Eliézer. Au cours d’une visite dans les usines de traitement des eaux du Goush Dan (la région de Tel Aviv), les parlementaires ont vivement déploré le fait que des pannes provoquent trop souvent le déversement des eaux d’égouts dans la mer.

Jsf : Parlant de réalisations israéliennes dans le domaine du traitement de l’eau :

"Immédiatement après leur conquête, les Israéliens ont mis en place une législation discriminatoire quant à l’exploitation de l’eau. En pratique, le forage de puits par les Palestiniens est soumis à des autorisations qui ne sont données que très restrictivement. L’eau, propriété de l’Etat qui a appliqué ses lois en la matière aux territoires occupés, est achetée au prix fort, celui de l’eau potable, par les agriculteurs palestiniens pour les besoins de l’irrigation. En fait, le prix de l’eau agricole est quatre fois plus élevé pour les Palestiniens que pour les Israéliens ! A Gaza, la situation est plus dramatique encore car l’aquifère côtier surexploité s’inflitre maintenant d’eau de mer.

Compte tenu de la poussée démographique, migratoire ou non, et de l’urbanisation, ce sont 800 à 1 milliard de m3 qu’Israël doit trouver dans les prochaines années, alors que les deux tiers de ses besoins sont satisfaits par des apports extérieurs à la Ligne verte : un tiers de la zone du lac de Tibériade et un autre tiers de la Cisjordanie et de Gaza. Selon un récent rapport de la compagnie Mekorot qui est chargée de la distribution en eau, il manquera dès l’année prochaine 90 millions de m3 d’eau potable, ce qui obligera à continuer les pompages dans l’aquifère occidental de Cisjordanie et la nappe de Gaza. Or, ces deux aquifères ont atteint des étiages dangereusement bas, celui de Gaza étant par surcroît pénétré d’eau de mer comme nous l’avons déjà indiqué. Et des pompages supplémentaires dans le lac de Tibériade risqueraient d’aviver les sources d’eau chaude saumâtre qui débouchent dans ses fonds. Le pire, c’est qu’à brève échéance, Israël ne dispose guère d’autres solutions pour pallier la pénurie que le rationnement. Mais même une coupe de 50 % dans l’approvisionnement de l’agriculture ne devrait pas permettre de faire face aux besoins urbains en eau potable.

L’urgence dit le rapport de Mekorot, c’est de mettre en service des unités de désalinisation de l’eau de mer, avec pour objectif une production de 100 millions de m3. Mais à plus long terme, suggère-t-il, c’est peut-être une nouvelle orientation de l’agriculture qui s’imposera, avec la suppression des cultures d’agrumes très consommatrices d’eau, et en fin de compte, une agriculture réduite à sa plus simple expression qui ne pourra garantir l’indépendance alimentaire du pays. Fin du mythe sioniste du retour à la terre, mais aussi question de sécurité." (source)

MEKOROT WATER COMPANY LTD, industrie privée (2400 employés), alimente Israël en eau, et fait aussi de la désalinisation d’eau, des nuages, etc (source). Mekorot WC, c’est 90% de l’eau potable distribuée à Israël.

"L’ajoût de fluor dans les systèmes d’eau d’Israël a commencé au début des années 80 à Gush Dan et et il y a environ quatre ans une loi est venue s’appliquer à toutes les municipalités : ajouter du fluor dans l’eau potable dans le but d’améliorer la santé dentaire." (source, cf aussi)

"Cela donne à Israël le second plus haut taux de fluoration en Europe, après l’Irelande, où 68% de l’eau est fluorée. Seuls 53% des habitants des USA ont de l’eau fluorée, et seulement 12% en Grande-Bretagne." (source)

Et la fluoration des eaux d’Israël coûte 1 milliard de dollars. (source)

Israël a adopté la fluoration en 1981. En 2002, plus de 2 millions de personnes (à peu près un tiers de la population) recevait de l’eau fluorée. (source).

Les composés fluorés sont ajoutés dans les usines de traitement d’eau. Bien que certains d’entre eux entrent dans la fabrication des armes chimiques - le gaz sarin notamment - , les usines de traitement d’eau s’en servent.

Les usines qui, après la 2e guerre mondiale, produisaient ces composés chimiques, se transforment en usines fournissant des produits pour le traitement de l’eau (cf cet exemple).

En novembre 2002 : "La Cour suprême vient de rejeter le recours déposé par les verts contre la fluoration de l’eau potable en Israël. En effet, aujourd’hui cette eau enrichie en fluor n’est fournie qu’à la moitié des habitants. Or, le ministère de la Santé précise que depuis les études médicales réalisées dans les années 1940, il est clair que le fluor a une importance considérable dans la prévention des caries chez les enfants et qu’il ne présente aucun danger. Le ministère espère que très bientôt 75% des Israéliens seront approvisionnés en eau fluorée. (The Jerusalem Post, nov. 2002)"

Résultat : excès de fluor dans les eaux distribuées aux Palestiniens.

L’eau consommée par la plupart des Palestiniens est souvent impropre à la consommation, ce qui provoque des diarrhées graves pour les nourrissons et contribue ainsi à l’importance de la mortalité infantile. Mais le reste de la population est aussi victime de cette eau non potable.

" L’eau a rongé mes dents " dit un jeune garçon de Gaza, " c’est l’eau salée qui est responsable de mes problèmes ". Il s’agit de l’hyperfluorose due à un excès de fluor dans les eaux consommées. Au dispensaire dentaire du Croissant Rouge palestinien à Gaza, un dentiste affirme : " la plupart de mes patients sont atteints d’hyperfluorose (…) c’est comme une carte d’identité ". A 5 km de là dans une colonie israélienne, cette pathologie n’est pas connue car l’eau y est de bonne qualité. (source, voir aussi cet article)

La fluorose dentaire survient à des concentrations supérieures à 1,5 mg et 2 mg par litre. La fluorose du squelette survient à des concentrations plus élevées - entre 3 mg et 6 mg. À Dublin, par exemple, l’eau de distribution est fluorée, mais la valeur paramétrique de 1,5 mg par litre n’a pas été dépassée et, selon ce rapport, la plus forte concentration enregistrée était de 0,9 mg.

9 juin 2006 : "Fareed Taamallah, activiste de la paix et coordonnateur de la Commission électorale palestinienne du district de Salfit en Cisjordanie, a réagi à la récente visite du premier ministre israélien Ehud Olmert à Washington : “l’annexion prévue des couches aquifères de la Cisjordanie par Israël va perpétuer des niveaux élevés de consommation d’eau en Israël, tout en occultant les besoins de base palestiniens et va anéantir tout espoir pour un Etat palestinien viable et pour la paix. Le Président Bush a qualifié le “plan” de convergence d’Olmert d’« audacieux ». Cependant, pour certains Palestiniens, ce plan est désastreux, parce qu’il va permettre d’annexer une grande partie de l’eau et de la terre fertile de la Cisjordanie à Israël.

Dans le cadre du plan d’Olmert, Israël entend garder les deux principales couches aquifères palestiniennes de Cisjordanie : le bassin inférieur de fleuve Jourdain à l’est et la couche aquifère montagneuse orientale, piégée derrière le mur Israël, à l’ouest. Cette situation obligera les Palestiniens à dépendre d’Israël pour l’eau, en conservant le statu quo : une répartition inégale des ressources en eau. (source)

Et :

"Israël/Palestine : la barrière de la Cisjordanie prive certaines communautés de leurs sources d’eau, selon les Palestiniens

La barrière israélienne controversée de la Cisjordanie [1] a été construite pour des raisons de sécurité, mais également pour “contrôler les ressources en eau”, selon Hind Khury, représentant du gouvernement palestinien à Paris ; un point de vue repris en échos par Elizabeth Sime, directrice nationale de CARE International en Cisjordanie/Gaza, qui commente : “l’itinéraire du mur correspond à celui des ressources en eau, le second étant convenablement situé, du côté israélien". “Le mur prive certaines communautés de leur seule source d’eau, empêche les camions-citernes de faire le tour et contribue à faire grimper les prix, "ajoute Abdul Rahman Tamimi, directeur du Groupe d’Hydrologie Palestinienne (PHG)."

Et :

PALESTINE, NABLUS : les Palestiniens accusent les colons israéliens de polluer les champs et les couches aquifères

Les colonies israéliennes donnant sur la ville de Nablus pompent les eaux d’égout dans les champs autour de la ville palestinienne et polluent la terre et l’eau, selon les autorités palestiniennes.

Amjad Jabr, directeur de l’Autorité de la Qualité Environnementale (EQA) à Nablus, estime que les colonies israéliennes regorgent d’usines qui produisent de l’aluminium, du plastique, de la fibre de verre, des détergents chimiques, de la peinture, des pesticides, des produits militaires et des teintures, rejetant ainsi des éléments polluants lourds tels que le chrome, le mercure et le plomb. Jabr estime que “on ne peut rien faire d’autre que d’entrer en contact avec les organisations internationales et les observatoires de l’environnement, afin d’exercer des pressions sur Israël, pour qu’il s’abstienne de faire de telles actions”.

Dr Tareef Ashour, représentant du Parti des Verts à Nablus soutient que les organisations internationales ont constaté que les déchets des colonies contenaient 200 types de poisons comme le chlorure, le tétrachlorure, le chlorure de benzène et l’arsenic phénylique, qui polluent les couches aquifères. Les autorités israéliennes sont accusées de construire un site d’enfouissement de déchets près de la carrière d’Abu Shusha, au-dessus d’un grand réservoir qui fournit de l’eau douce à des milliers de personnes à Nablus et dans les villages à l’ouest.

Et encore :

Israël revendique l’eau de la Palestine

Israël a élaboré un plan secret d’implantation d’une grande station de dessalement à Caesaria, afin de fournir de l’eau potable au territoire palestinien de la Cisjordanie. Il espère que ce projet réduirait dans cinq à sept ans, la pression exercée contre lui, pour qu’il accorde à tout futur Etat palestinien un important accès à l’approvisionnement en eau douce, rare ressource dans la région, rapporte le New Scientist. La station de dessalement distribuerait de l’eau aux grandes villes et à de nombreux villages parmi les 250 que compte la Cisjordanie et qui dépendent actuellement en eau des sources et des petits puits locaux.

Israël, qui veut que les USA financent le projet, garantit le passage sécurisé de l’eau sur son territoire, en échange d’un accord qui garantirait en retour à Israël de continuer à s’octroyer la part du lion sur les eaux de la Cisjordanie. Il s’agit principalement des réserves souterraines telles que l’aquifère occidental, la source d’eau la plus importante, la plus propre et la plus fiable de la région. L’approvisionnement en eau est un des rares secteurs pour lequel la coopération entre Israël et la Palestine a survécu à l’intifada actuel. Chaque jour, en Cisjordanie, les ingénieurs palestiniens aident à réparer et à entretenir les conduites d’eau israéliennes, et réciproquement.

Mais les négociateurs palestiniens de l’eau éprouvent un malaise profond, par rapport aux plans en élaboration, particulièrement si ces plans impliquent renoncer à revendiquer l’eau « sous leurs pieds ». “Nous ne pouvons pas faire cela. Nous n’avons pas l’argent ou l’expertise pour le dessalement”, affirme Ihab Barghothi, chef des projets hydrauliques de l’Autorité Palestinienne de l’eau.

À propos du type de fluor utilisé :


FLUORURES UTILISÉS

Les fluorures sont des composés organiques et inorganiques contenant l’élément fluor. Généralement incolores, les différents composés fluorés sont plus ou moins solubles dans l’eau et peuvent se présenter sous forme solide, liquide ou gazeuse. Les fluorures sont d’importants produits chimiques industriels dont les usages sont multiples.

La plupart des recherches faites sur la fluoration utilisaient du fluorure de sodium, grade pharmaceutique, mais les municipalités américaines utilisent le fluor sous des formes plus économiques, tel que le silicofluorure (silicofluoride), l’acide hydrofluorosilique (hydrofluosilicic acid) ou silicoflure de sodium (sodium silicofluoride).

Les fluorures utilisés sont toujours étiquettés comme étant très toxiques : acide fluorhydrique (HF), bifluorure d’ammonium, fluorure d’ammonium, bifluorure de potassium, bifluorure de sodium, fluorure de sodium et fluosilicate de sodium. Il y a des milliers de rapports médicaux concernant les décès et les blessures survenus à la suite du contact avec des produits fluorés.

L’acide hydrofluorosilicique (HFSA) est l’additif utilisé dans 70% de l’eau potable en Californie et 90% à la grandeur des USA. 9% des usines de traitement d’eau utilise le fluorure de sodium.

En Angleterre

Seulement deux produits sont permis pour la fluoration : hexafluorosilicic acid (H2SiF6), connu sous le nom d’acide hydrofluorosilique, et disodium hexafluorosilicate (Na2SiF6) aussi connu comme le fluorosicicate de sodium.

On spécifie bien que ce sont des « co-produits » de l’industrie des fertilisants phosphatés. On dit que leur fabrication est par la récupération du produit dans une phase vapeur, qui offre un haut de degré de pureté. Pour recueillir les gaz, on utilise des unités de récupération qui sont techniquement similaires aux simples flitres anti-pollution (pollution scrubbers) des usines. « Mais que la différence importante est que le résultat final est une ressource de valeur et utile, qui rencontre les hauts niveaux de qualité. » Ce n’est plus un résidu industriel ! Accrochez-vous, on dit même maintenant que les fertilisants phosphatés sont des sous-produits de la production des flurorues de la fluoration, puisque les 2 produits ont de la valeur. Le monde est vraiment fou.

CE NE SONT PAS DES PRODUITS PRIMAIRES, NI DES CO-PRODUITS

Les produits chimiques utilisés pour la fluoration de l’eau potable sont tous dérivés des résidus des industries des fertilisants (phosphatés), du raffinement de l’aluminium et du fer (et autres minéraux, notamment le zinc, le cuivre, le béryllium et le magnésium). En aucun cas, les agents fluorés utilisés dans toutes les fluorations, sont produits explicitement et directement, ils sont toujours des déchets d’une industrie.

Ces co-produits industriels contiennent tous des contaminants, comme de l’arsenic et du plomb. En fait, deux études récentes (Neurotoxicology, December 2000) ont trouvé une associtation entre la consommation d’eau contenant de l’acide hydrofluosilicique ou du silicofluorure de sodium (les chimiques les plus utilisés en fluoration) et la concentration de plomb dans le sang des enfants.

En 1901, une étude trouva que les fluorures « sont les produits les plus toxiques que l’industrie en général produits ».

Pour bien comprendre le problème, il faut se reporter à la lin des années trente. Deux grandes industries américaines, celle de l’aluminium et celle des engrais chimiques, étaient alors aux prises avec deux de leurs sous-produits, le fluorure de sodium et le fluorosilicate de sodium. Leur problème consistait à se débarrasser de ces sous produits si toxiques et si corrosifs : savoir comment en disposer était devenu un problème sérieux et dispendieux. La seule utilisation qu’on avait pu leur trouver avait été comme poison à rats et comme insecticide.

Ces substances sont tellement corrosives qu’elles peuvent complètement traverser une plaque d’acier d’un quart de pouce d’épaisseur en quelques minutes.

Le lien entre le fluor et l’aluminium

Le fluor est un des principaux dérivés de la fabrication de l’aluminium. Il a fallu rechercher des débouchés lucratifs à ces déchets fluorés. Le lobby industriel et financier a alors financé des études attestant l’innocuité des produits fluorés ainsi que leurs effets bénéfiques à faible dose qui ont été mis en valeur. Il en a été de même de l’aluminium.

L’Express (n° 2482, février 1999), se veut rassurant quand il affirme sous la plume de Vincent Olivier :" Il faut être clair : on ne risque pas de mourir en buvant de l’eau du robinet ". Mais quel crédit accorder à un magazine sous la propriété de Havas, absorbée elle-même par la Compagnie Générale des Eaux (devenue Vivendi le 15 mai 1998).

Comment ne pas s’interroger sur la possibilité que la fluorisation généralisée ne soit qu’une forme de contrôle social, de par l’effet sédatif qu’elle engendre.

Les intérêts en jeu dans cette affaire sont énormes, les effets sanitaires et psychiques ne le sont pas moins.

Le fait que l’utilisation du fluor et de l’aluminium ne cesse de se développer depuis les années 50, et cela dans l’indifférence générale malgré les nombreux avertissements lancés par des personnes qualifiées en la matière, prouve bien l’efficacité de l’effet annihilant du fluor sur l’esprit critique de tout à chacun.

Le maintient du statu quo grâce à la désinformation sur des sujets aussi importants alimente l’apathie de la masse somnolente, ce qui ne fait que servir les intérêts de ceux qui détiennent le pouvoir, qu’il soit économique ou politique. (source)

Publié dans palestine

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